Polynesie #10 - Fakarava
Fakarava, ou Faka pour les intimes, c'est mon chouchou.
In love avec mon petit bungalow tout simple, en bois, a 100m de l'océan, sous un cocotier. Assise dehors avec mon ordi sur les genoux, lampe de poche sous la main, l'électricité va et vient.
In love avec Fakarava, paisible, apaisante, plus jolie et plus clean que Rangi, impression immédiate d'y être bien. Plages cartes postales, mouillages de reve, et une vieille bicoque en bord de lagon.
Faka, c'est aussi une mecque de la plongée, alors il y a des plongeurs. Dont un haut-savoyard, couchsurfer, moniteur a "Faka sud", qui joue les robinson depuis 4 mois sur le motu désert ou se trouve le club près de la passe, il ressemble a mon frère (en moins beau). J'aurais bien refait un bapteme, mais le temps me manque, la faute a la meteo capricieuse. Ce n'est que partie remise.
J'y retrouve aussi le tourdumondiste rencontre a Huahine. Toujours sympa de recroiser les gens apres quelques semaines. Du coup on passe une chouette journee velo/lagon. Fakarava est l'endroit ideal pour la vision que j'ai du cyclisme : une route unique, deserte, lisse, plate.
Jour 2, a droite en sortant de la pension, en direction de l'aeroport et de la passe Garuae. A l'aller, le jardinier de la pension charge mon velo chinois a l'arriere du pick-up et me depose au bout de la route. Je termine a la force du mollet, par la piste. Plaignez-moi. Baignade sur une plage deserte.
Le Paul Gauguin (et son tender qui fait la navette pour debarquer les passagers), avec cette fois-la a bord,
Jean-Michel Cousteau, pour des conferences. Et de la plongee, oeuf corse
Trop court, cet episode tuamotuesque paumotu, je reviendrai, c'est oblige.
Next port of call : Mo'orea